Avec son épouse et sa fille, François s’est installé dans les Côtes d’Armor depuis plus d’un an. Il nous confie son ressenti au travers d’un témoignage sincère. Voici un témoignage Côtes d’Armor qui donne envie !!

Sur les sentiers du Grand site de France Cap d’Erquy – Cap Fréhel © CAD L’œil de Paco

Les Côtes d’Armor, un rêve d’enfant 

Avec sa petite fille et sa conjointe, François s’est installé à Andel, dans les Côtes d’Armor. Originaire de Picardie, il connaissait déjà bien la région de par ses racines familiales près de Lamballe-Armor. Plus jeune, il venait un mois chaque année à Erquy et promettait de revenir habiter en Bretagne. 

Ce projet a alors été minutieusement préparé pendant 3 ans, afin de mettre des économies de côté et de vendre leur bien en Picardie, à bon prix. Un délai assez important avant de se lancer, mais qui leur a été nécessaire afin de ne pas avoir de mauvaises surprises. 

Arrivé dans les Côtes d’Armor en mai 2020, il a, dans un premier temps, loué un petit studio, lui permettant de faire les allers-retours facilement avec la Picardie afin d’effectuer des entretiens d’embauche. En octobre 2021, sa femme et sa fille l’ont rejoint, prêtes à changer de vie une fois sa situation professionnelle stabilisée. 

TU ES INTÉRESSÉ POUR T’INSTALLER EN BRETAGNE CÔTES D’ARMOR ?
Les équipes de Laou et des côtes d’Armor t’accompagnent gratuitement dans ton changement de ville (🤩 trouver sa ville idéale, 💼 accélérer son projet professionnel, 🏡 trouver un logement), quel que soit où tu en es de ton projet.

Un cadre de vie inestimable 

Pendant quelques mois, ils ont recherché un nouveau bien immobilier, pour trouver leur bonheur sur la commune d’Andel. Une belle maison avec 4 chambres, sur 2 étages. S’étalant sur 100 m² et plus de 600 m² de terrain, cet investissement à hauteur de 215 000 € aurait été hors de portée dans l’Oise (environ 250 K€ pour un bien similaire)  

À présent bien installés sur la côte de Penthièvre, ils profitent d’un climat qu’ils jugent plus doux que dans les Hauts-de-France, où ils ne s’étonnent plus de voir des palmiers et autres plantes tropicales dans le jardin de leurs voisins. Au printemps, ils espèrent bien s’essayer aux nombreuses activités et sports nautiques, ainsi qu’aux nombreuses balades que leur offre cet environnement. 

De la même façon, ils sont ravis de pouvoir varier leurs plaisirs culinaires grâce à tous les restaurants et leurs produits frais. En Côtes d’Armor, il est facile de manger local, de privilégier les circuits courts, tout en conservant des prix attractifs. François relève également que dans cette diversité, il peut aussi bénéficier d’excellents restaurants ouvriers à moindre coût. 

Enfin, en attendant l’arrivée des beaux jours, ils en profitent pour découvrir les villes alentour telles que Dinan ou Saint-Brieuc, faire les marchés, aller au cinéma les jours de pluie ou encore (pour Monsieur), aller à la pêche avec des collègues ! 

 

Dégustation d’huîtres de Fréhel sur le marché © Bsbpc Emmanuel Berthier

Un bassin économique plein d’opportunités

François a travaillé pendant 16 ans au Parc Astérix en tant que responsable adjoint maintenance. Une expérience (et une famille inoubliable) qu’il n’oubliera jamais mais dont il souhaitait s’émanciper. 

En arrivant, il a d’abord trouvé un premier emploi dans la région de Lamballe-Armor, qui lui a permis de venir « en éclaireur ». Ne se plaisant pas dans ce nouveau poste, il a de nouveau cherché et a pu intégrer l’entreprise LABBÉ GRUAU (plus grand site français de production cellules Grand Volume de moins de 3,5 T) à Lamballe-Armor, il y a quelques semaines. En prenant ce poste de responsable de maintenance, François a vu sa rémunération légèrement réduire. Une diminution qu’il a acceptée au vu du coût de la vie qui est également inférieur. 

En termes d’industrie, il note des différences importantes avec les entreprises qu’il connaît en IDF ou dans les Hauts-de-France. De même, les services de proximité sont organisés différemment sur les petites communes comme Andel par exemple par rapport à ce qu’il a connu.

Son épouse était, quant à elle, gestionnaire de stock dans le textile, elle fait des remplacements en intérim en attendant de trouver l’emploi qui lui permettra de s’épanouir. (Il n’y a pas de grande industrie de textile sur le territoire, elle doit donc trouver en Côtes d’Armor un poste où ses compétences pourront être valorisées).

Une décision réfléchie et recommandée 

Bien entendu, les Côtes d’Armor offrent un cadre de vie indéniable, la mer est juste à côté, on y retrouve les plus belles côtes de France. Quant aux Bretons, François et sa famille estiment qu’une fois que l’on gagne leur confiance, tout se passe à merveille. 

Concernant les plus petits, les écoles et les structures pour l’enfance sont nombreuses, ils n’ont eu aucune difficulté à trouver une école à leur petite fille de 8 ans. Petit à petit, elle s’habitue à son nouvel environnement. 

Un an après leur installation, ils sont heureux de leurs décisions et ne feraient marche arrière pour rien au monde. Toutefois, ils souhaitent rappeler qu’il est important de ne pas sous-estimer les défis liés à un tel projet de mobilité, que ce soit sur les thématiques de l’emploi ou du logement. 

#andel

Partagez cet article sur vos réseaux